Need, need, need !
Need, need, need ces mots qui résonnent, je les répète sans cesse, j’y pense, j’y repense !
Deux semaines sans toi, deux semaines, je savais très bien que ça allait être dur, bien dur, dès le début, rien que pour l’au revoir, je ne veux pas t’accompagner jusqu’au bout puisque je sais très bien que mes larmes allaient couler et je n’aurai aucun moyen de les retenir. Sur cet arrêt de tram « un bisou mon amoureuse » puis « un bisou mon loulou », « je t’aime », et un dernier « tu fais attention à toi » ! J’ai cette boule dans la gorge, qui fait affreusement mal tellement elle a envie de sortir mais je me retiens, le tram sans va, je pleure mais moins que je le pensais. Tant mieux.
Deux semaines, ça parait rien, oui comment font ceux qui ont des relations à distances ? , mais on ne se quittait plus, depuis des semaines, tu mangeais chez moi, tu dormais chez moi, tu te douchais avec moi, j’aime faire tout ça avec toi puisque on découvre tout ça ensemble, on est des novices, et j’aime ça.
Je rentre chez moi, et je sens ton polo rempli de parfum, ce qui ne m’a pas empêché d’éclater en sanglot, et ça plusieurs fois dans la semaine. J’ai affreusement besoin de toi, tu es le seul avec qui je suis bien, et non pas parce que tu es mon « amoureux », mais tu es aussi mon ami, mon confident, celui avec qui je peux tout dire, parler de mon frère, de mes parents et même parler du chien alors c’est dire, je ne sais pas si tu te rends compte a quel point tu me fais du bien, a quel point tu me rends heureuse. Aurais-je réussi à prendre mon indépendance seule ? Auprès de qui aurais-je été si tu n’avais pas été là ? Tu es toujours la pour moi, et j’aime tellement ça.
J’ose pas regarder en arrière ou en avant, - chacun sa vision des choses - , parce que ça ne fait pas si longtemps qu’on est ensemble et dire que tu es l’homme parfait et que j’attend que les années passent pour rester toujours à tes cotés serait surement faire la fille qui s’avance trop, mais je regarde parfois en arrière, en me disant qu’il y a un an, je te méprisais, je te détestait mais en bien, oui un peu perplexe comme vision, je me détestais plutôt, je me forçais pendant l’été à ne plus penser à toi, il suffit de lire ce blog pour s’en rendre compte.
Et maintenant, je suis toujours la même, à la différence que j’ai trouvé le bonheur, je ne sais pas pourquoi je me suis accrochée a toi, sans que tu t’en rende compte, contre toute attente j’ai vraiment bien fait, puisque je me suis retrouve là a attendre ton retour, juste pour de serrer fort contre mes bras, juste pour me sentir un peu mieux chez moi, dans mon petit appart qui n’attend que ta visite, je me félicite de t’avoir attendu parce que je suis tellement heureuse de t’avoir auprès de moi.
Oui cet article est d’une niaiserie incontestée, c’est toujours la même chose que je répète, mais mon amoureux me manque, j’aime me rappeler nos souvenirs, et j’espère réellement qu’il y en aura encore des tonnes.
Pour finir dans la niaiserie, I need You.